je cherche un endroit pour courrir pour laisser mes larme secher au vent pour empecher mes piedde s'enraciner on n'as tous un moyen de nous calmer de laisser s'écouler notre coulère moi je la laisse partir sous mes pied quand je cours ... j'ai demander au savant fou qui sois disant savais tout ou je devais courrir il m'a repondu qu'il savait pas alors je suis partit vers celui qui me connais le plus et il m'a repondu qu'il ne parlait pas au inconnu il m'a demander qui j'étais , et moi qui ne pouvais même pas repondre a cette question je suis partit loin plus loin que toute les clairière lumineuse plus loin que tout les champs au épis qui fouette et même plus loin que les sombre forêt dans un petit chemin j'ai fait la course avec mon ombre et elle a perdu alors vexé elle m'a laisser , plus seul que jamais j'ai demander a un arbre si je pouvais courir pres de lui il m'a répondu non m'a montrer  un chemin de c branche et ma dit d'aller jusqu'au bout alors je suis partit j'ai couru jusqu'a que le chemin tracer devienne broussaille et en levant la tête  j'ai vu un verre d'eau vide géant ...ma falaise faite de glace aussi transparente que l'eau des ruisseau alors j'ai entreprit de lescalader et des mon premier effort le temps c'est arreté je ne comptais plu les jour et même dans l'obscurité je continuais a monter toujours plu haut quand j'eu l'impression qu'a mesure que je montais l'espace qui me s'éparait du sommet grandissait alor je me suis mit a parler au verre ( c'était pas pire qu'a un arbre ) et je lui est dit qu'il devait me laisser monter que je prendrais soin de son verre si fragile et que je le carresserais de mes pied puis il y eu un gran silence un silence ou l'on se dit qu'on est seul et ridicule mais d'un coups la distance jusqu'au sommet du verre retresi jusqu'a ne plus etre . puis j'entendit :tu finira par me casser c'est ta destiner !mais j'étais deja au sommet du verre et mon envie de courrir me brulait les pied j'avais un defis ... ne pas tomber alors j'ai preferer faire semblant de ne pas entendre ske me disaitle verre et j'ai courru plus vite qu'un oiseau vole et moi même j'ai cru m'envoler j'ai regarder les paysage qui m'entourais et a chacun de me tout il était different je me sentais plus ivre qu'heureuse et rien n'avais d'importance même plus de courrir droit c'est a cause de sa qu'un jour je sui tomber au fond du verre je m'étais fait prisonnièrede ma barrière glacer et je restais solitaire dans ma petite prison j'étouffais parce que je ne pouvais plus courrir et quand on prive quelqu'un de sa raison de vivre il deperi alors j'ai fermer les yeu et j'ai ecouter cette voie au fond de ma tête qui avait toujours laisser couler des parole elle decrivais le paysage ma peine et ma douleur et d'un coups j'ai voulu les sortir j'ai voulu tapisser le verre de mot et vomir cette douce voi en moi alors je me sui recroqueviller et j'ai chanter fort tellement que l'onde de ma voi traversa ma prison et fit vibrer les arbre j'ai chanter une prière et non pas un cris ma voi coulais et les mots sortais seul de ma bouche ... a mesure que je chantais je grandissais et je prenais plus de place jusqu'a que le verre explose je me levais enfin apres des siècle assise et j'étais grande ... je respirais puis les morceau de verre casser balbutière : tu voi c'étais t'a destiner de me casser ....